SOLANN

Solann s’est révélée en janvier 2024 avec son premier EP « Monstrueuse », porté par les titres « Petit Corps » et « Rome, ville prise par les loups », où elle interroge sa place de femme dans un monde en tension. Ce projet aux mélodies douces et entêtantes a rapidement séduit critique et public, cumulant plus de 25 millions de streams. Son succès fulgurant l’amène à partager la scène avec Patrick Watson, Zaho de Sagazan et Pierre de Maere, avant de remplir La Cigale à guichets fermés en juin.

À l’automne, elle dévoile son premier album « Si on sombre ce sera beau », un projet où elle explore l’amour, la mort, l’attente et la souffrance féminine, sur des sonorités électroniques. Solann, artiste complète et multi-facettes, peint, écrit, met en scène du théâtre et crochète même ses vêtements, trouvant dans ces pratiques un sas de décompression pour nourrir son processus d’écriture.

Portée par une voix claire et théâtrale, héritée de son amour pour les contes arméniens et la chanson française, elle réussit l’exploit de raconter la violence avec douceur. En collaboration avec son réalisateur musical Marso et son ukulélé, elle crée un univers cathartique et puissant, qui touche en plein cœur. Son album, à la fois intime et universel, aborde la solitude dans « Insomnie », l’errance dans « Noctambule », ou encore la résilience dans « Marcher Droit », offrant un guide poétique pour continuer à avancer malgré les tempêtes.

Adulée par la critique (Quotidien, Taratata, Les Inrocks…) et comparée à des artistes comme Barbara ou Hozier, Solann s’impose comme une nouvelle étoile de la scène française, capable de transformer la douleur en beauté et de donner une voix aux luttes féminines et sociales.